Injections : la beauté des poisons !

Injections : la beauté des poisons !

Injections : la beauté des poisons !

Une nouvelle vague d’injections véhiculant les mêmes valeurs est venue ces dernières années supplanter le précieux Botox. Ouf !

L’injection d’acide hyaluronique (HA) est devenue aujourd’hui la star des injections anti-âge. Plus glamour et moins culpabilisante que le Botox, car non issu d’une toxine mortelle, elle fait aussi des ravages. Tour d’horizon !

Après les ravages du Botox, les consommatrices se sont rabattues sur cette nouvelle substance plus rassurante et tout aussi efficace que la toxine botulique. L’acide hyaluronique (HA) est un élément constitutif du derme très utilisé en cosmétique bio sous sa forme végétale. Il est dans ce cas un des actifs les plus hydratants du marché bio. L’acide hyaluronique (HA) existe déjà dans notre peau, où il est un des composants majeurs du ciment intercellulaire dans lequel baignent nos cellules. Il est impliqué dans de nombreux mécanismes cellulaires, son rôle principal est de maintenir l’hydratation de la peau dans la couche moyenne (le derme). Pour les praticiens des injections, l’article est aisé et crédible. Mais à première vue seulement.

HA 100% d’origine naturelle, oui, mais !

L’acide hyaluronique est principalement obtenu de façon industrielle par deux procédés différents. C’est dans la crête de coq que l’on trouve la meilleure qualité d’acide hyaluronique (défenseur de la souffrance animale, s’abstenir). L’extrait est broyé et traité chimiquement afin de le rendre assimilable pour la peau et l’organisme humain, car ce dernier sera également chargé de l’éliminer. Après traitement chimique, la substance qui était à l’origine naturelle ne l’est plus, car de nombreux adjuvants chimiques ont été rajoutés. Le second procédé consiste à fabriquer des filaments d’acide hyaluronique synthétique à partir de la fermentation de bactéries.  Pour les deux méthodes, la résorption à 100% n’est pas garantie, car comme pour le Botox, les résidus sont bio cumulables. De plus le procédé d’évacuation est très mal connu : l’organisme n’est pas conçu pour évacuer l’acide hyaluronique puisque celui-ci est un élément permanent de la peau. 

Les risques mal connus !

risque-botox

L’acide hyaluronique n’est pas allergisant, les allergies sont donc exceptionnelles. Cependant, les réactions post-injections peuvent provoquer œdèmes, rougeurs, irrégularités, sensibilité, démangeaisons, ecchymoses de façon temporaire. Chez les sujets prédisposés à l’herpès une poussée labiale peut subvenir.

Après injection secondaire dans une zone ayant déjà été injectée avec d’autres produits, en particulier non résorbables, il est possible de constater des réactions inflammatoires aigües ou chroniques.

Aussi, la complication la plus classique est liée à l’apparition de granulomes. Il s’agit de petits nodules indurés, plus ou moins sensibles, perceptibles au toucher, parfois visibles et inesthétiques, se présentant souvent le long d’une ligne d’injection. Ils correspondent à une réaction inflammatoire localisée pouvant évoluer par poussées. Elles peuvent apparaître quelques jours à quelques semaines après l’injection. Ils sont la plupart du temps spontanément régressifs. En quelques semaines ou plusieurs mois, la patience suffit pour s’en débarrasser ! Patiente !

Aussi, des cas plus rares ont été décrits, d’abcès, de nécrose cutanée (mort des tissus) localisée sur un point d’injection ou de rougeurs persistantes plusieurs semaines après l’injection.

Baby Doll à 60 ans !

Les premières injections de Botox ont, disons-le, des effets impressionnants.

Le résultat est radical et le vertige des premières rides s’efface comme par enchantement, emportant avec lui angoisses, peurs et souffrances psychologiques liées à ce mini drame.

Durant une période de 2 à 4 ans, les injections paraissent merveilleuses, mais tôt ou tard le piège se referme. En effet, la substance injectée ne se résorbe jamais à 100% (contrairement au discours des praticiens) : des résidus importants de produit stagnent et s’accumulent dans les tissus, ce qui au fil des années va former une sorte de masque plastique plus ou moins rigide sous les tissus cutanés.

C’est le masque « Baby Dool » version années 2000 qui se met en place : visage bombé, sillon naso-génien projeté en avant, peau épaissie, pommette sur saillantes, contour de la bouche inflexible et incapable d’accueillir les courbures d’un sourire naturel, contour des yeux lisse et statique, relief tendu et irréprochable.

La poupée nouvelle génération est en place, elle a entre 45 et 65 ans, mais son nouveau visage n’inspire plus d’âge, juste un certain état d’esprit et peut-être aussi la dissimulation d’un profond malaise. 

L’individualité est gommée, une bourka de plastique humain a pris place, un drame est en route, totalement irréversible cette fois. Souvent sous l’œil désespérer de l’entourage proche de la personne. Ainsi, l’ensemble des femmes injectées se met à afficher le même air (de famille), plus liftées et tendues qu’à leurs 20 ans.

Des alternatives valables existent-elles ?

Force est de constater que les victimes de ce genre d’injections ont à la base assez peu d’affinité (voir une certaine aversion) avec le monde naturel et les concepts qu’il propose. Souvent les utilisatrices d’injection sont aussi et avant tout des utilisatrices de cosmétiques pétrochimiques aux promesses chimériques et aux tarifs onéreux.

Le premier réflexe consiste d’abord à habituer sa peau à une nourriture naturelle plutôt que de l’abreuver de pétrole durant 20 ou 30 ans !

Les signes de vieillissement tarderont davantage et seront moins importants. Ensuite il existe dans la proposition des dermatologues des peelings doux resurfaçants qui ont déjà fait leurs preuves en matière d’effacement de rides et de pores dilatés.

Aussi, de nombreux instituts de beauté travaillent avec des méthodes complètement révolutionnaires de dermabrasion. Souvent plus douces que celles des dermatologues, ces technologies sont aujourd’hui à la pointe de l’anti-âge et leurs sublimes résultats font passer les injections pour des méthodes barbares et archaïques.

La technologie de microdermabrasion du système Derma-Pod technologie par exemple (pour n’en citer qu’un !) permet même de traiter les zones sensibles comme les cernes sous les yeux ou les zones couperosées et bien sûr les rides profondes et superficielles ainsi que les pores dilatés.

Pas de piqûres, pas de produit sous-cutané et pas de résidu. Des méthodes d’écologie sanitaire qui respectent la peau et la personnalité de chaque femme. L’essentiel est d’afficher une jeunesse qui correspond à son âge et en cela seul l’éclat est garant de la beauté (rides ou pas !).

Pour une prise en charge anti âge du visage au naturel : beautyloge 6 Up-Lifting visage 

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En vous souhaitant une très belle mise en œuvre !

Allez, à très vite…

Vivez Joyeuse et Libre !

Carol Cassone

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