J’ai bien cru que je n’allais jamais réussir à sortir ce programme « cou ».
De mémoire, c’est le programme qui m’a donné le plus de travail et généré beaucoup de doutes.
En effet, j’ai tourné en rond presque une année à tester ce qui me semblait intéressant. Comme à mon habitude j’ai poussé la recherche afin de regarder au-delà de ce que tout le monde propose en copier/coller sur la toile. J’étais à la recherche d’approches plus profondes pour répondre aux besoins de mon propre cou, qui n’était vraiment pas joli à regarder depuis quelque temps.
Il faut dire que j’ai fait une grave erreur à son sujet, à force de focusser sur mon visage, mes fesses, mes dents, mes poches, mes paupières, ma lymphe, mes jambes, ma constipation et de tout ce qui demande une attention démesurée à partir de 50 ans, j’ai laissé mon cou s’effondrer en pensant que ce serait facile de le récupérer une fois que j’allais m’y mettre.
Erreur fondamentale !
À 57 ans, je vous assure que la zone du cou ne répond pas du tout comme le visage et pour cause.
Après avoir écumé de nombreuses approches, contactées de grands spécialistes du corps humain en espérant recevoir une clé magique concernant ce foutu platysma (le muscle principal du cou), je restais profondément insatisfaite des feedbacks plus que maigres, même émanant de personnes qui auraient vraiment aimé m’aider davantage.
En effet, le cou semble être le grand oublié du corps, ce qui est très loin d’être le cas de la nuque. Pourtant, et à grand tort, l’avant du cou semble pour beaucoup, n’être que l’extension du visage, offrant quelques petites pratiques d’étirement, de-ci de-là, mais largement insatisfaisantes à mes yeux.
Prête à jeter l’éponge après des mois de pratique inutile, sans compter les pertes de temps et d’argent associées, qui ont été considérables. Et me voilà, pour la première fois de ma carrière, devant l’impossibilité de percer le mystère du cou, un comble pour une si petite surface. La mort dans l’âme, j’ai donc lâché l’affaire quelques mois, j’avais besoin de prendre du recul et de me désinvestir de cette quête qui me semblait alors impossible.
Puis, la détermination s’est redressée dans mon for intérieur, poussée par l’intuition de devoir emprunter une nouvelle voie, accueillir un nouveau paradigme.
Et si les problèmes du cou ne venaient pas du cou ? …..
Bingo !! C’est à partir de ce postulat que mes recherches ont enfin abouti sur 2 découvertes majeures, qui ont bouleversé ma vision du cou à jamais.
Enfin, je venais de comprendre pourquoi cette partie, qui semble tout à fait insignifiante, est en vérité l’arbre qui cache la forêt de nombreux facteurs de vieillissement.
Voilà la pure vérité : le vieillissement du cou, mes chères amies est dû à des facteurs qui n’ont rien à voir avec le cou lui-même, en vérité, l’affaissement du cou et les horribles cordes platysmales, ne sont pas du tout liés au vieillissement.
À bien y réfléchir, en effet, tout le monde ne les a pas, et, j’ai enfin compris pourquoi certaines personnes passaient à côté de ce phénomène, alors que d’autres le manifestent bien avant 50 ans.