Je rêve d’un monde qui semble inatteignable, utopiste et illusoire, cependant, si je ne le fabrique pas en moi, il n’a aucune chance de voir le jour. Alors je rêve et je vous invite à rêver avec moi, le temps d’une lecture, d’une intention posée, d’une image qui se cristallise. Rêvons ensemble s’il vous plait.

L’imagination est plus importante que l’intelligence disait Albert Einstein. Ce grand physicien théoricien a fait de ce postulat le résumé de sa carrière de chercheur scientifique. Aujourd’hui j’ai vraiment besoin d’y croire.

Rêvons d’un monde où la liberté s’étende bien au-delà de nos petits weekends et de nos 5 ridicules semaines de vacances par an.

Rêvons d’un espace qui autorise sans condition aux corps qui ont besoin de repos de le prendre sans qu’il ne soit soumis à une perte ou une contrainte règlementaire. Le repos devenant un droit souverain de soin de la personne.

Rêvons d’un monde où chaque aliment produit sur cette planète soit le fruit de l’intention bienveillante et ciblée sur les réels besoins du corps.

Rêvons d’un monde ou l’aliment sera le premier principe actif beauté, jeunesse et santé.

Rêvons d’un monde où le revenu universel soit un droit pour tous et surtout pour les moins aptes au travail, et propices à la réalisation de ceux qui désirent contribuer davantage par leur création.

Rêvons d’un monde où la connexion avec le divin devient la source de toute santé, de toute beauté et de toute jeunesse. Évinçant la vieillesse et la maladie qui en réalité ne sont que des signes de perdition intérieure.

Rêvons d’un monde où la joie est le seul critère de réussite, ou le partage est la seule monnaie d’échange, ou la grâce est le seul salaire.

Rêvons d’un monde non pas de fraternité ou de sororité, qui sont encore ici des descriptions polarisées, mais plutôt d’un monde d’unité, ou chacune se voit en regardant l’autre. Pouvant admirer ainsi sa propre splendeur.

Rêvons d’un monde où toutes astuces beauté deviennent inutiles, car la beauté et la jeunesse seront notre héritage naturel, éternel et divin.

Rêvons d’un monde ou le mot amour retrouve ces lettres de noblesse. Ou les enfants redeviennent la richesse du monde et non des fardeaux à problèmes.

Rêvons d’un monde ou l’éducation n’est plus basée sur la compétition et la mémoire, mais sur les ressources et capacités propres et reconnues à chacun selon sa mission de vie.

Rêvons d’un monde où la première éducation des enfants consistera à développer nos perceptions extrasensorielles, notre individualité, nos dons, nos capacités d’intuition, de télépathie, d’art, d’amour inconditionnel de soi, de création de la réalité…